Ça ne paye toujours pas
Malgré des progrès dans le jeu, les Nancéiens rentrent encore bredouilles.
Convaincant lors de sa première titularisation le week-end dernier face au PSG, Ziri Hammar conserve sa place dans le onze de départ. Les deux équipes entrent tranquillement dans la rencontre jusqu’à un débordement de Genevoix côté droit. Son centre devant le but est manqué par Ndy Assembe mais également un peu trop haut pour Cvitanich (9’). Hammar est ensuite parfaitement servi en profondeur. Il avance et tente une frappe du plat du pied droit qui termine dans les gants d’Ospina (14’).
Le match s’anime avec une frappe de Cvitanich que repousse Ndy Assembe des deux poings (15’). L’attaquant argentin est à nouveau servi dans la surface mais il tarde à frapper. André Luiz dégage le ballon (19’). L’OGC Nice appuie sur l’accélérateur depuis quelques minutes et obtient un corner côté droit. Le ballon est mal dégagé. Traoré le frappe à ras de terre. Ndy Assembe est masqué et ne peut le dévier de sa trajectoire (21’).
L’ASNL attend près d’un quart d’heure avant de réagir mais touche l’extérieur du poteau sur une superbe frappe de vingt mètres de Bakar (36’). Les locaux sont encore dangereux sur un coup de pied arrêté mal dégagé par la défense. La frappe puissante de Bauthéac est heureusement déviée en corner (39’). L’ASNL sauve sa première mi-temps en égalisant dans le temps additionnel sur un corner de Mollo repris de la tête au premier poteau par Sané (45’).
Mis en confiance par ce but, les Nancéiens entament mieux la seconde période. Lossemy Karaboué est même tout près de leur donner l’avantage sur une frappe à ras de terre à l’entrée de la surface mais Ospina détourne du bout des doigts (49’). Ndy Assembe sort également un arrêt réflexe face à une volée de Bauthéac (61’) puis détourne en corner un tir au premier poteau de Pied (77’). Le gardien camerounais ne peut en revanche rien faire sur un centre en retrait de Pied repris au point de penalty par Bauthéac (82’). Les dernières minutes n’offrent pas d’occasions nettes aux Nancéiens, qui s’inclinent sur la pelouse d’un concurrent direct.
- Composition