Abandonné par Lossemy Karaboué parti à Troyes, le 7 a vite trouvé preneur. C’est en effet le numéro fétiche d’Antony Robic. « C’est la date de naissance de mon petit frère Julien et un numéro qui me tient à cœur depuis le début de ma carrière, explique-t-il. Je suis content de le retrouver car je ne l’avais pas la saison dernière à Laval. » En revanche, aucun rapport avec le célèbre n°7 de Manchester United Éric Cantona. « Ce serait plutôt Andreï Chevtchenko » répond le Marseillais.