Convaincu de la nécessité d’abandonner la pelouse synthétique de Marcel-Picot, Jacques Rousselot étudie toutes les possibilités. « Si le Grand Nancy ne peut pas nous aider et si la meilleure solution pour l’ASNL est d’acheter Picot, on sera prêt à étudier sérieusement cette possibilité », a-t-il expliqué mercredi en conférence de presse.
Interrogé par l’Est Républicain, Eric Pensalfini, vice-président de la CUGN et délégué aux équipements sportifs, ne ferme pas la porte aux négociations. « C’est très rare en France d’avoir des clubs propriétaires de leur stade mais pourquoi ne pas être des précurseurs en cédant Marcel-Picot à l’ASNL ? Vu le contexte actuel, il faut innover. Avec une bonne vente, ça pourrait être du gagnant-gagnant. Du côté de la CUGN, ça nous permettrait de pouvoir investir sur d’autres dossiers. Mais nous en sommes très loin. »