Interrogé sur un éventuel syndrome Marcel-Picot par un journaliste de sport24.com, Jonathan Brison ne voit aucune raison d’avoir peur d’évoluer devant le public nancéien. « Quand on rentre sur le terrain, on n’a pas plus de pression que cela. Le problème est que dès qu’on prend le premier but, on se désunit et contrairement à ce qu’on a pu faire à Bordeaux, on a du mal à sortir la tête de l’eau une fois que l’on est mené au score. Syndrome, c’est un mot un peu fort et excessif. On ne joue pas devant 80 000 spectateurs fous furieux. Ça reste un bon public qui nous encourage. Il y a eu des sifflets certes. Mais les deux kops nous ont encouragés malgré le 4-0. On n’a aucune raison d’avoir peur. »