Satisfait d’être toujours dans la course à six matchs de la fin et toujours plus ambitieux pour la suite, Pablo Correa explique une partie de son travail dans une interview publiée ce mercredi dans l’Est Républicain. « Chaque entraîneur tire des ficelles qui lui semblent importantes pour prendre des points et, moi, la ficelle essentielle avant de parler technique, tactique ou physique, c’est l’état d’esprit. On peut rater des choses mais c’est interdit de renoncer, je le prendrais comme une trahison. Les joueurs le savent, le sentent et ils me donnent beaucoup de plaisir quand ils parviennent à faire face à une situation compliquée comme à Châteauroux. »