Pour l’entraîneur adjoint, la pression qui pèse sur les épaules nancéiennes ne doit en aucun cas se transformer en psychose négative. « Cela pourrait alors devenir contraignant pour le jeu » explique Paul Fischer qui ne veut surtout pas que son équipe sorte du terrain avec des regrets. « Si jamais cela devait mal se passer, je veux que l’on ait le sentiment d’avoir tout tenté. C’est notre état d’esprit qui peut faire la différence. Il faudra s’imposer techniquement et physiquement mais surtout mentalement. On doit avoir plus envie de gagner que Lorient ! »