Si Pierre Taribo, le directeur de la rédaction de la Semaine de Nancy, n’avait pas interrogé Jacques Rousselot sur l’argent qu’il investit personnellement dans l’ASNL, celui-ci n’en aurait jamais parlé. Par pudeur et parce qu’il ne souhaite pas être mis en avant, le président préfère en général rester discret sur le sujet. Il avoue tout de même avoir été obligé de remettre de l’argent, ce qui a permis de lever l’interdiction de recrutement décrétée par la DNCG. « Je ne le dis jamais parce que ça n’intéresse personne. Mais, même si j’ai réussi mon parcours professionnel, c’est le travail de toute une vie qui passe dans l’ASNL. Je le fais parce que je suis passionné. »