Après sept mois passés dans la zone de relégation, l’ASNL respire un peu mieux cette semaine. Rien n’est pour autant acquis comme le précise Jordan Loties. « On sait qu’il y a un risque de relâchement. On n’a pas besoin de nous mettre en garde car nous en sommes tous conscients. Le danger serait de tomber dans l’euphorie et de croire que l’on a fait le plus dur. Au contraire, ne plus être parmi les trois derniers ne doit rien changer à notre état d’esprit et à nos ambitions. On doit même aborder ces cinq derniers matchs comme si nous étions encore lanterne rouge. »