Afin de rompre avec les habitudes, mais aussi de profiter d’une météo presque printanière, le staff a délaissé son habituel tournoi en salle du jeudi pour une séance devant le but. « Cela fait un moment qu’on souhaitait le faire, mais on n’avait pas de pelouse en herbe pour bien travailler », explique Vincent Hognon. Les frappes se sont donc enchaînées à un rythme effréné pour le plus grand plaisir des joueurs, mais pas forcément des gardiens. « Vu que l’on se fait bombarder à bout portant, c’est plus amusant pour eux que pour nous, avoue Damien Gregorini, qui estime avoir été allumé entre 150 et 200 fois au cours de la matinée. Mais, on en a besoin et il est important de travailler sérieusement. »