Avec seulement quatorze professionnels disponibles, dont deux gardiens et deux joueurs (Dampha, Bassilekin) en manque de temps de jeu, beaucoup d’entraîneurs professionnels se plaindraient de leur effectif réduit. Pas Patrick Gabriel. « Je n’ai pas de problème, sourit-il. Je ne fais pas de distinction selon les contrats mais uniquement selon la valeur des joueurs. Dans mon esprit, j’ai un groupe de 35 joueurs et la seule différence concernant les jeunes est qu’ils ne pourront pas enchainer dix matchs de suite. »