En raison de la refonte des championnats qui va faire passer les groupes du CFA de dix-huit à seize équipes, il y aura quatre descentes voir cinq cette saison. Ce qui n’arrange pas l’ASNL actuellement en fâcheuse posture en bas du classement. « On s’en est plutôt bien sorti lors de la première partie de saison, notamment parce qu’on a pu compter régulièrement sur des coups de main de pros confirmés, explique Paco Rubio dans l’Est Républicain. C’est plus compliqué depuis le début d’année 2013 parce que l’effectif de L1 est plus restreint, mais ça peut aussi être une expérience très formatrice pour les plus jeunes. C’est dans des moments difficiles comme aujourd’hui que l’on peut voir ce qu’ils ont dans le ventre, s’ils sont prêts à passer le cap. »