Dans son édition de mercredi, l’Est Républicain s’intéresse à la faible rotation des joueurs dans le onze de départ. Pierre-Henry Wrexler a en effet calculé que 91% des places de titulaires ont été réparties entre onze joueurs. Ce sont d’ailleurs ceux qui ont débuté face à Montpellier samedi dernier. « C’est ma philosophie, explique Jean Fernandez. Je m’appuie sur un groupe de douze, treize joueurs. Je considère que ce n’est pas parce qu’il y a des mauvais matches qu’il faut tout changer. Ce qui est important dans une équipe, c’est que des automatismes se créent entre les joueurs. Quand on change, c’est difficile d’avoir ces automatismes. Maintenant, il n’y a pas de vérité. Parfois, il m’arrive de changer. »