Jean Fernandez sait qu’après une performance comme celle réussie à Paris dimanche, le match suivant est toujours très compliqué à gérer mentalement. Il a donc prévenu ses joueurs. «Nous n’avons pas encore sorti la tête de l’eau, mais avons la possibilité de le faire en gagnant face à Dijon. Attention, car le contexte sera moins favorable qu’à Paris où l’on pouvait se contenter de défendre et de contrer. Samedi soir, il faudra faire le jeu et nous n’avons pas beaucoup de marges de manœuvre sur le plan offensif. C’est un match piège par excellence, car nous sommes encore fragiles. Mais, si on le gagne, si on obtient notre quatrième succès en cinq matchs, alors on pourra parler de déclic. »