42 ans après la victoire de l’AS Nancy-Lorraine en Coupe de France, le 13 mai 1978, Paco Rubio se souvient de sa finale.
« On a déjà bien mieux joué que ça, raconte-t-il dans l’Est Républicain. Personnellement, j’aurais dû marquer lors de cette finale mais je ne l’ai pas fait à cause de « La Rouille » (amusé) ! À 1-0, Olivier Rouyer se présente devant Barateli, il est trop excentré mais il frappe quand même alors que je suis tout seul dans l’axe. Longtemps, il m’a dit qu’il ne m’avait pas vu au centre, tu parles ! Il a fini par avouer ! »