Christian Portelance, journaliste et ami de l’ASNL, partage ses impressions d’après-match.
Grenoble et la trêve internationale ont tout cassé. On croyait les tracas nancéiens enfouis dans la glaise de l’oubli et on s’était mis à croire, disons-le, qu’une position sereine au milieu du tableau était pour bientôt.
Rien de tout ça ! L’ASNL sait maintenir ses supporteurs dans l’angoisse. Elle se remet à perdre. Les vieux démons ne meurent jamais.
Sans Vagner, l’attaque ne marque pas et paie cher ses errements. Valenciennes a voyagé jusqu’en Lorraine pour nous ramener à la froide réalité. Alain Perrin a raison de dire que l’équipe n’a pas de marge de manœuvre. Chaque point vaudra désormais de l’or.
La Ligue 2 n’est pas un bouquet de roses, mais on y tient. Il faut aujourd’hui y assurer son maintien.