Parlons-en avec C. Portelance

Retour
Pro · 03/11/2018 à 09:49
03/11/2018 • 09:49

Christian Portelance, journaliste et ami de l’ASNL, partage ses impressions d’après-match.

Christian PortelanceQue pourras-tu faire, Alain ?

D’abord, revoir Alain Perrin est un instant de plaisir. Jadis, dans son petit bureau situé à l’étage du complexe de la Forêt de Haye, il parlait formation avec nous, journalistes qui appréciions la qualité de ses analyses et son regard technique sur les jeunes joueurs. Nous aimions cela.

Le voici revenu aux affaires et Marcel-Picot lui donne d’emblée bien du tracas. S’il pensait s’en sortir mieux, d’entrée de jeu, il en est pour son pronostic.

Nancy, comme d’habitude, a perdu et, comme d’habitude, on a peine à désigner celui ou ceux qu’épargnerait la critique. Peut-être Chernik et N’Guessan…

L’ASNL « conforte » sa place de dernier et ça n’amuse personne, aussi bien sur le terrain que parmi les travées de Picot. Où allons-nous ? Aucune idée, et si Alain possède la clé que ne possédait ni Didier Tholot ni l’ensemble des entraîneurs qui viennent de rendre les armes, il sera bien avisé de s’en servir le plus tôt possible.

Chaque week-end qui s’écoule nous plonge dans l’inénarrable en nous confortant dans notre conviction que l’AS Nancy-Lorraine, dénuée d’attaquants efficaces et d’animateurs à même de préparer des ballons qui arrivent, restera plantée là.

Cher Alain, tu es sans doute le dernier espoir du moment. Que parviendras-tu à mettre en place pour inverser la vapeur ?

Flèche gauche Flèche droite