Arrivé l’été dernier en provenance d’Autriche, Patrik Eler prend des cours de français. Quatre fois par semaine, il travaille sur Skype avec une professeure slovène.
« Le plus difficile est de parler, explique-t-il dans un français forcément un peu hésitant. Comprendre, ça va. Parler italien m’aide beaucoup pour cela. » Ses quatre saisons en Autriche lui ont également permis d’apprendre l’allemand.