En cinq déplacements, l’AS Nancy-Lorraine n’a trouvé que deux fois le chemin des filets : Patrik Eler à Orléans (3-1) lors de la première journée et Youssouf Hadji à Brest (2-1) à la fin du mois d’août. « On doit se projeter plus rapidement et en plus grand nombre pour être dangereux, préconise Antony Robic. Sur des contres à un ou deux joueurs, il faut des exploits individuels. Notre équipe doit s’installer plus longtemps dans la moitié de terrain adverse pour les mettre en difficulté. »
Malheureux sur plusieurs tentatives, par exemple sa superbe reprise sur le poteau contre Bourg-en-Bresse, le n°7 de l’ASNL n’a plus marqué en championnat son but décisif face au RC Lens (1-0) en mars 2016. « Ça me manque, mais je ne doute pas. Je sais que ça va venir. Le meilleur exemple, c’est Youss (Hadji) ! Il n’a pas douté et il a retrouvé l’efficacité. Il ne faut surtout pas lâcher ».
"Se créer plus d'occasions et être plus décisif à l'extérieur" #Robic #GFCAASNL pic.twitter.com/5mytKMRqZI
— AS Nancy-Lorraine (@asnlofficiel) 12 octobre 2017