Pour l’entraîneur adjoint, l’ASNL se trouve aujourd’hui dos au mur et doit se mobiliser sur ces quatre derniers matchs. « Il n’y a plus cinquante discours à tenir. La tactique, la technique ou le physique sont secondaires. C’est le mental et le cœur qui feront la différence. Il faut aussi savoir digérer des échecs difficiles à avaler. » Ce qui veut dire tirer un trait sur la défaite de samedi dernier face au LOSC tout en essayant de conserver le même état d’esprit. « On a été cohérent dans le jeu, avec des lignes serrées et beaucoup de solidarité. Il faut avoir la même attitude mardi soir. »