Discret dans la vie, Damien Gregorini devient un compétiteur explosif après avoir enfilé ses gants. « Un jour, Damien venait de prendre un but à l’entraînement et il a voulu dégager le ballon de colère mais il s’est pris le pied dans le filet et il est tombé. Sur le moment, on n’a pas osé rire, raconte Jonathan Brison dans le Républicain lorrain. C’est un faux calme. Il hait la défaite, même pendant les jeux. C’est sans doute un truc de gardiens puisque Genna (Bracigliano) est pareil. »